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Le préfet des Côtes d’Armor a réuni ce jour le comité de gestion de la ressource en eau (CGRE) qui rassemble les services de l’État et ses établissements, les collectivités territoriales, distributeurs et producteurs d’eau potable, les structures de planification dans le domaine de l’eau (SAGE) et les représentants des usagers de l’eau.
Une présentation détaillée de l’état des ressources en eau a été réalisée.
Au vu des données disponibles à ce jour, grâce à l’interconnexion départementale développée et à un bon état de remplissage des barrages départementaux, l’alimentation en eau potable ne devrait pas poser de difficultés particulières durant l’été.
Cependant, le déficit pluviométrique, en moyenne de 30 % pour les premiers mois de l’année, conduit à des débits de l’ensemble des cours d’eau très en dessous de la normale de saison et comparables à ceux observés habituellement au début du mois août. Il en est de même pour les eaux souterraines pour lesquelles toutes les mesures mettent en évidence une situation inférieure aux normales de saison, sans toutefois atteindre des niveaux exceptionnellement bas.
La pluviométrie du mois de juin, due principalement à des phénomènes orageux localisés n’a pas permis de relever ces niveaux et Météo-France ne prévoit pas de pluies efficaces pour les prochains jours. Cette absence de pluie, couplée aux faibles débits des cours d’eau et au niveau bas des nappes souterraines, impactent déjà les milieux aquatiques, notamment dans les secteurs EST et SUD du département (Rance, Arguenon, Meu, Lié et Oust).
Cependant, à ce stade, les membres du comité de gestion ont constaté que les conditions ne sont pas encore réunies pour déclencher l’état de vigilance.

Toutefois, chacun est invité dès à présent à adopter une conduite éco-responsable pour éviter tout gaspillage d’eau. Il est notamment recommandé de :
surveiller son compteur d’eau pour repérer les fuites ;
ne pas faire tourner les lave-linge ou les lave-vaisselle à moitié vides ;
ne pas laisser couler l’eau en permanence pendant la toilette ;
préférer les douches aux bains ;
éviter le lavage des voitures à grandes eaux et préférer les lavages à haute pression ;
limiter les arrosages des pelouses ;
limiter l’arrosage des espaces verts ;
arroser préférentiellement en début ou fin de journée ;
éviter tous les lavages non essentiels (terrasses, murs, clôtures...).

Vous pouvez consulter le document complet transmis par la préfecture: pdf2022-06-23-communique-presse-secheresse.pdf75.02 Ko

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controle sanitaire eau 06 2022

 

Vous trouverez le résultat des analyses de l'eau potable (prélèvement à l'EHPAD) dans le document: pdfControle_sanitaire_eau_potable_062022.pdf

logo ltcAprès avoir adopté son Schéma de cohérence Territoriale (SCOT) en février 2020, puis son Projet de territoire Cap 2040 en juin 2021, Lannion-Trégor Communauté s’est engagée depuis plusieurs mois dans un travail de planification stratégique à travers l’établissement conjoint de trois grands plans :

  • le Plan Climat Air Énergie territorial (PCAET) qui a notamment pour objectif de lutter contre le réchauffement climatique
  • le Plan de Mobilité (PDM) qui doit permettre de favoriser une mobilité pour tous, tout en respectant mieux l’environnement,
  • le Plan Local d’Urbanisme intercommunal valant plan local de l’Habitat (PLUi-H) qui permet d'organiser dans le temps et dans l’espace les constructions de logement et d’espaces d’activités économiques en respectant le patrimoine naturel et bâti.

Cet exercice vise à organiser le fonctionnement du territoire sous toutes ses facettes (cadre de vie, logement, mobilités, économie et emploi, patrimoine, ressources naturelles, énergie, déchets, etc.) autour d’une double ambition : permettre à chacun de s’y épanouir selon ses besoins, tout en préservant les grands équilibres environnementaux qui nous permettront de répondre durablement au défi de l’urgence climatique.

Consultation publique en ligne du 15 juin au 15 août 2022 : La parole est aux trégorrois.es !

À partir du 15 juin et jusqu’au 15 août 2022, une enquête en ligne est disponible ci-après :

Celle-ci porte sur les modes de vies et les attentes des habitants du territoire de Lannion-Trégor Communauté. Ces contributions permettront de nuancer ou de conforter les différents points du diagnostic et de lancer le débat sur les orientations à prendre.

Cette enquête est également un bon préalable aux séances publiques de travail qui réuniront à l’automne les citoyens intéressés pour un travail en commun autour des enjeux portés par ces 3 plans.

 

Information

Communiqué de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer - Service Agriculture et Développement Rural

 

 Le dispositif des calamités agricoles est différent de celui des catastrophes naturelles :

Le régime des calamités agricoles peut intervenir afin d’indemniser les agriculteurs qui ont subi une perte de récolte (baisse quantitative de production) ou une perte de fonds (destruction ou dégradation de l’outil de production). Cette perte doit être occasionnée par la survenance d’un phénomène climatique ayant été caractérisé comme exceptionnel suite à une expertise météorologique.
Attention, seuls les risques considérés comme non assurables au sens de l’article L361-5 du code rural et de la pêche maritime (CRPM) peuvent faire l’objet d’une indemnisation. À titre d’exemple, sont exclus de l’indemnisation les pertes de récoltes causées par l’ensemble des risques climatiques sur céréales, oléagineux, protéagineux, plantes industrielles et vignes, ainsi que les pertes de récolte causées par la grêle (hors fourrages). Ces exclusions ne s’appliquent pas aux pertes de fonds.
Peut bénéficier du régime de calamités agricoles (après reconnaissance de l'événement climatique exceptionnel), tout exploitant :
- justifiant d’un taux de perte physique de 30 % de la production annuelle (ou 42 % pour les productions végétales bénéficiant d’une aide PAC couplée) pour les pertes de récolte ;
- justifiant d’un montant des dommages dépassant 13 % par rapport au produit brut théorique de l’exploitation.

Pour résumer, le régime des catastrophes naturelles est adapté pour les dommages aux habitations, aux routes, au matériel agricole, et celui des calamités agricoles, indépendant du premier, se charge des dégâts sur les cultures non assurables (en d'autres termes, on peut avoir une catnat sans calam et vice versa). Pour les cultures assurables l’État prend en charge 65 % des cotisations de l'assurance récolte, encore faut-il que l'exploitant ait souscrit cette assurance.

Il existe d'autres dispositifs pour aider les exploitants qui subissent des dégâts sur leurs cultures, dégrèvement TFNB (demande individuelle toujours possible, et collective par zone sur demande de la profession à la DDFIP), PGE, allègement des cotisations sociales.

Nous recensons les dégâts actuellement, de façon à remonter au ministère une description de situation objective, pour l'aider à prendre d'éventuelles mesures supplémentaires.

Coordonnées du service à contacter :  02 96 62 47 11.

Informations complémentaires:

 

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